Oui j'ai péché Seigneur, car tu n'existes pas :
Au café sans saison les grandes beuveries
M'auront mené vers elle et chacun de ces pas
Narre les nœuds par cent nouant
Ses collants verts.
On peine à vivre, on craint, sous les mutineries,
L'oubli de l'horizon pourtant, vigie en pleurs
Hier et naufragé pleuré par les vigies
Un marin nous narrait les nœuds
Des collants verts.
Des tableaux de ténors où des femmes sont peintes
Ou des films, un sofa, des lèvres sans un bruit,
Reine numide, écrin des éternelles plaintes,
S'étouffent entre les nœuds navrés
Des collants verts.
Hey Natacha on voit ta culotte !