J’aurais perdu le don du poème, un matin ! L’égarement… sans doute, on le vit, que l’ivresse L’a ramené chez elle où se boit en latin Le bon vin des enfers et le bon vin de messe. Sans doute près d’un string de putain, la Putain Républicaine, au moins,...
Indéniablement lors du matin futile Toute chose à son comble a fui... Dieu je ne sais Plus à quel saint du ciel avouer mon décès D'enfant de l'ombre d'or qui chante et se mutile. Incandescence close, un cœur qui se transforme Gît dans l'entaille ouverte...
Oui j'ai péché Seigneur, car tu n'existes pas : Au café sans saison les grandes beuveries M'auront mené vers elle et chacun de ces pas Narre les nœuds par cent nouant Ses collants verts. On peine à vivre, on craint, sous les mutineries, L'oubli de l'horizon...
J'ai commencé par raper après tout...
Noyade : La mer est sépulcrale aux yeux de l'hydrophobe ; Elle échange aux poumons de l'air contre de l'eau Et la vie s'y enfuit à l'intérieur des globes Qui des lêvres s'extraient pour un ultime mot. Dessin : Dynoknu.
Burning heart : Un cœur brûle… Ah ! Qu’un autre ostensiblement naisse ! Au quinzième et qu’un cycle insensé se referme Sur un billet de blog ; incendie de promesses ! De feu gris (tel un nord) dont la voûte est le terme. Par ~HEandRO.
(le premier déballa les frasques de la gloire…) D’immenses jambes pendent à son bassin ! Sont-elles faites pour mieux accompagner ou pour mieux fuir ? Il ne peut pas répondre car il est déjà loin, dans l’odorante mangrove avec ses mots de gloire. Par...
« -Tiens donc ? Tu penses ça, toi? Alors écoute : si je poursuis ton raisonnement... si je poursuis ton raisonnement... Si je poursuis ton raisonnement j'attends pas qu'il fasse dix mètres pour lui coller une balle dans chaque guibole ! »
Le romantisme pour les nuls : Je t'aime d'amour mon aimée Et mon amour énamouré De part le ciel sera semé ; Jusqu'à la mort je t'aimerai. Peinture : Azzriel666. (On ne sait jamais...)
Bref, le verre de trop. Un petit maigre Un peu barbu Avait trop bu De vinasse aigre. Lors, dans sa tête, Tous ses remords Refaisaient corps, Refaisaient bête. Donc, loin du bar, Un temps plus tard, Hurlant « je souffre ! », Le gringalet Dégringolait Au...
Brigitte… un nom qui te va mal ! Et un corps flasque et la cervelle Légère comme un siroco Mais Brigitte ô toi ma poubelle Au style avoué de rococo Je t’aime et c’en est infernal ! Par Nutthead.
Petit son que j'ai enregistré heuuuuu... Ben Sarko était président et je faisais du rap donc premier mandat... donc j'étais jeunot.
Repos: Près des grands magasins sur les places publiques Le poids de l'assurance et la croix du mensonge Que le paraître est lourd je m'allège et m'allonge Mammifère fainéant, fragile et aboulique
Pas de poème ni rien, juste ça, incredible : Beyonce chante en français les choristes par eday_amar
9. Ça s'est vu : l'aumône des frères détraque les phéromones.
Il avait quelque chose de Georges Clownesque...
"Délaissez-vous l'amour au point de ne plus croire ?" Vociféra le prêtre, et c'est toute l'histoire.
Mangé par un poulet, se pendre aux tournesols.
Si Simone réussit… Servi, lu Part sec canot Tournoi Latte __ Et : Talion Ru Otton Accès trapu Livres …Tissu Ere Nom Isis.
10. Appelle-moi au 7-8 120. Ô séduite en vain!
8. Au Japon celui qui volait aux riches pour donner au pauvre s'appelait ronin des noix. Il en avait de grosses.
Où sont les guerriers ?
Où sont les rois?
Où sont les orgueilleux qui prennent le trône quand on les croit ?
Sofiane.