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21 décembre 2013 6 21 /12 /décembre /2013 23:15

 

Oui j'ai péché Seigneur, car tu n'existes pas :

Au café sans saison les grandes beuveries

M'auront mené vers elle et chacun de ces pas

Narre les nœuds par cent nouant

Ses collants verts.

 

On peine à vivre, on craint, sous les mutineries,

L'oubli de l'horizon pourtant, vigie en pleurs

Hier et naufragé pleuré par les vigies

Un marin nous narrait les nœuds

Des collants verts.

 

Des tableaux de ténors où des femmes sont peintes

Ou des films, un sofa, des lèvres sans un bruit,

Reine numide, écrin des éternelles plaintes,

S'étouffent entre les nœuds navrés

Des collants verts.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Hey Natacha on voit ta culotte !

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